Transfert dans l'Aisne
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 Thierry Bonalair

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Thierry Bonalair Empty
MessageSujet: Thierry Bonalair   Thierry Bonalair Empty29/6/2009, 11:46

Thierry Bonalair Thierr10

Après une formation à Chauny, Thierry Bonalair signe son premier contrat pro dans le club picard d’Amiens. Tout jeune, il s’illustre par sa vivacité et son pied gauche précis et joue ailier gauche : « Mon premier club, c’était Chauny, dans l’Aisne, au nord de Paris. Un club qui jouait en division d’honneur régionale et où j’ai évolué en minimes. En fait, j’ai découvert le football par l’école de la rue, à Paris où je suis né. C’est le sport le moins cher et on peut y jouer avec n’importe quoi. Je n’avais pas d’idoles du football alors, mais je jouais avec les copains dans la rue. Après deux années à Chauny, je suis allé à Amiens, de 15 à 19 ans, en sports-études tout d’abord. Et puis j’ai joué, à 18 ans, en D 2 avec Amiens. J’y ai connu deux descentes et deux montées. Je jouais alors en attaque, comme ailier. » Alors que le club végète en D2, Thierry, qui fête ses 21 ans se voit contacter par le grand FC Nantes. Les canaris, depuis le départ du grand Maxime Bossis, peinent à trouver une solution au poste de latéral. En concurrence avec le vieux Jean-Pierre Bade, il joue assez peu la première saison. Il gagnera sa place la saison suivante mais au poste de d’arrière droit. Loin du faste du début des années 80, les jaunes et vert sont dans une période de transition. La greffe Blazevic à la tête de l’équipe peine à donner satisfaction et le recrutement extérieur, qui n’est pas franchement une tradition local, n’est pas forcément réussi : Maurice Johnston et Thierno Youm sont les symboles d’une équipe qui a perdu son identité. Pour Thierry en revanche tout se passe bien et le départ du croate lui permet de retrouver son flanc gauche au début des années 90. Là, il fa former une belle doublette avec l’ailier maison, un certain Christophe Robert. En 1992, le club, en proie à des difficultés, est contraint de se séparer de ses meilleurs éléments : Marcel Desailly rejoint l’OM, tout comme Jean-Jacques Eydelie, Jorge Burruchaga rejoint Valenciennes, et Thierry l’AJA.

Thierry débarque à Auxerre le cœur gonflé d’espoir « C’est une équipe qui est toujours classée en haut du tableau, depuis qu’elle est en division 1, et qui participe régulièrement à la Coupe d’Europe. C’est une équipe dans laquelle je peux encore progresser, faire beaucoup mieux, comme de nombreux joueurs qui y sont passés l’ont démontré. ». En concurrence avec Franck Rabarivony, un petit gabarit, il peine à s’imposer dans l’arrière garde auxerroise. Trimbalé de latéral droit à latéral gauche, il cherche ses marques et son style. A l’époque Auxerre pratique l’individuel stricte, pas question de défense en zone dans le 4-3-3 très Old School du bon père Guy Roux. Au début Thierry ne s’inquiète pas de son rendement moyen : « Disons que je suis actuellement dans une période de rodage, qui peut être plus ou moins longue, pour trouver pleinement ses marques. Mais je suis persuadé que je peux faire beaucoup mieux pour réduire cette période de rodage. J’ai d’ailleurs plein d’espoirs avec Auxerre où j’ai choisi de poursuivre ma carrière. Mes espérances sont multiples, et on peut les résumer par une formule : jouer avec Auxerre le football le plus intéressant à tous les niveaux de compétition, championnat Coupe de France et Coupe d’Europe. » déclare-t-il en septembre 92. Mais très vite il comprend que son avenir ne passe pas par la case Auxerre. C’est plus souvent du banc de touche que du terrain qu’il vivra la formidable épopée européenne des ajaïste qui iront en demi-finale de C3 après avoir sorti l’Ajax Amsterdam.

Thierry a tout juste 27 ans et sa sent la fin de carrière. Il tente de rebondir au LOSC. L’aventure se passe bien dans la mesure où Thierry joue régulièrement dans une défense assez moyenne : Jean-Luc Buisine en fin de carrière, Jacob Friis Hansen, Hervé Rollain, Fabien Leclercq sont chargés de protéger Jean-Claude Nadon. Les saisons se suivent et se ressemblent pour le club qui lutte pour le maintien. Thierry reste 2 saisons avant de tenter l’aventure à l’étranger. Il entame son périple par un exil fiscal en Suisse dans le club de Neuchâtel avec de filer en Angleterre, à Nottingham. Bien évidemment le club n’est plus que l’ombre de son passé glorieux de la fin des années 70 avec 2 C1 consécutives. Thierry s’adapte bien à l’Angleterre et son style encore très britannique. Il y passe 3 belles années et laisse un bon souvenir dans le cœur des petites anglaises. Il va terminer sa carrière en Suisse, au FC Zurich. En 20001 il raccroche les crampons après une carrière bien remplie, malgré un palmarès famélique.

Carrière :

1983 - 1987 : Amiens SC
1987 - 1992 : FC Nantes
1992 - 1993 : AJ Auxerre
1993 - 1995 : Lille OSC
1995 - 1997 : Neuchâtel Xamax
1997 - 2000 : Nottingham Forest
2000 - 2001 : FC Zurich

Palmarès :

1993 : Demi-finaliste C3 (Auxerre)
1998 : Champion de D2 d'Angleterre(Nottingham Forest)
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http://transfertdanslaisne.jtkc.org
 
Thierry Bonalair
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